La love story des tendances. Peintures éphémères de collections, Jane de boy expose ses choix de pièces et de marques dans son salon aux Quinconces. Immersion dans le dressing de Marie, directrice de Jane de Boy, exposé au public au Cap-Ferret, à Bordeaux ou à Arcachon.

Au départ, il s’agissait d’un partage avec ses copines. Depuis 19 ans, elle observe les tendances s’imposer, les silhouettes évoluer. Cette envie de diffuser cet art de vivre l’amena à créer plusieurs boutiques.
Dépassement des frontières ; le site internet ouvre les collections sur le monde. Saison après saison, les sélections évoluent et Jane de Boy travaille maintenant avec plus de quatre-cents marques.

Spontanéité des goûts, casser les codes. On est loin du côté épuré très présent au sein des marques de luxe. Portants blindés et silhouettes de sous-vêtements sur quelques uns suspendus. On retrouve les basiques auxquels se confondent des pièces plus mordantes. On pense notamment à Raquel Allegra. Vague de bohème au style prononcé. Plus qu’une boutique de mode, c’est un art de
vivre. On retrouve des ouvrages liés à la culture, de la parfumerie, ou de l’épicerie.
En effet, Jane de boy c’est le désordonné organisé à l’allure amoureuse.

Avant-gardiste sans extravagance ; rester dans l’air du temps. « J’aime, j’aime pas. Au studio ça fuse ». C’est l’endroit d’expression de Jane de Boy. L’équipe flâne lors de défilés à la recherche de rencontres, de coups de cœur et d’émotions. Capter l’air du temps et transformer les collections en une sélection que l’on découvre avant les grandes tendances autour de belles rencontres.
Réel phénomène en vogue. Sylvain Norget, nouveau directeur artistique apporte une nouvelle dimension au travers de l’art de la photographie. Shooting aux allures rétro, à la « Charlie et ses drôles de dames ». A la recherche de réalité, mettre sans cesse en mouvement cette passion. Le visuel parle.

Jane de Boy ; la femme plurielle et singulière à la fois.

Rédaction Les Têtes de Pub – Cloé Cothenet